Quand l'histoire fait son chemin
L’histoire de Saint-Barnabé regorge de faits et d’événements fascinants et captivants! L’histoire fait partie de nous, de nos racines. Prenez le temps de la découvrir.
Notre ligne du temps...
1820
Les colons établis sur le territoire (environ 600 personnes) songent à se détacher de Yamachiche afin de fonder leur propre paroisse. La raison est qu’ils se trouvent trop loin de l’église qui se situe à plus de 15 miles à l’époque.
1823
Les premières démarches en vue de la fondation de la paroisse de Saint-Barnabé sont enclenchées.
1832
Érection canonique de la paroisse et construction de la première église.
1833
Première célébration à l’église de Saint-Barnabé.
1835
Bénédiction de la première cloche de l’église. Mathew Lord Aylmer, gouverneur du Canada reconnait Saint-Barnabé au nom des autorités civiles.
1838
Construction du presbytère.
1842
Construction de la première école. Et en 1852 l’école déménage au sud du village.
1854
L’église est trop petite. Le diocèse approuve donc la construction d’une nouvelle église.
1855
Année où une loi est passée obligeant tous les villages de plus de 300 habitants à se munir d’un conseil municipal. C’est ainsi que le 14 juillet 1855 se forme le 1er conseil municipal de Saint-Barnabé.
Pour siéger sur le conseil, sont élus à main levée un maire et six conseillers : Antoine Bournival (maire), Louis Gélinas (conseiller), Antoine Bourassa (conseiller), Georges Bourassa (conseiller), Luc Bellemare (conseiller), Louis Gagnon (conseiller), Isaac Deschênes (conseiller)
1859
La pierre angulaire de la nouvelle église est bénie. Et c’est en 1865 que l’intérieur est enfin terminé.
1871
Construction d’un nouveau presbytère en briques.
1873
Décès de l’abbé Élie Sylvestre Sirois Duplessis, curé ayant servi la paroisse jusqu’en 1865. À son décès, il lègue à sa nièce le soin de réaliser l’une de ses aspirations : Offrir à la jeunesse féminine de Saint-Barnabé une maison d’éducation tenue par des religieuses.
1881
Après beaucoup d’embûches cette maison d’éducation (couvent) voit le jour et ouvre ses portes à l’automne.
1883
Première exposition agricole de Saint-Barnabé.
1884
Construction d’une nouvelle école au village à l’endroit même où est situé l’école actuelle.
1892
Le conseil municipal autorise la construction d’un réseau d’aqueduc privé.
1897
Le presbytère s’agrandit et fait l’acquisition d’un harmonium.
1901
Début du baseball! Le club joue dans plusieurs municipalités avoisinantes et se déplace en « voiture express » tirée par deux chevaux. L’équipe est redoutable, on parle d’eux jusqu’aux États-Unis ! On les surnomme « les fameux de Saint-Barnabé ».
1909
La fabrique creuse deux puits et fait l’acquisition d’une pompe à incendie.
1910
Un règlement sur la prohibition est voté, la vente de spiritueux est interdite sur le territoire de la municipalité. Ce règlement municipal sera en vigueur durant 58 ans.
1916
L’abbé Louis-Eugène Duguay, affilié à la paroisse de Saint-Barnabé doit aller faire son effort de guerre dans une Europe mouvementée. Il promet alors que s’il revient sain et sauf, il fera construire un monument dédié au Sacré-Cœur-de-Jésus. À son retour cette même année, le monument est déjà construit et inauguré le 22 octobre 1916. Ce monument règne toujours au centre de la municipalité.
1921
Électricité est installée dans le centre du village, dont à l’église et au presbytère.
1924
Le conseil municipal nomme le premier pompier, M. Thomas Bellemare. Il est chargé de veiller au bon fonctionnement des pompes. Son salaire est de 0,50$ l’heure pour les réparations des pompes et travaille gratuitement lors des incendies.
1937
Premier incendie – Le 30 août, un incendie démarre dans la beurrerie de M. Freddy Gélinas. L’absence de source d’eau à proximité contribue à l’ampleur du brasier. 8 maisons sont rasées par les flammes.
1940
Suite à l’incendie majeur de 1937, la municipalité décide de créer une brigade de pompiers volontaires. C’est donc le 3 septembre 1940 que les premiers pompiers volontaires sont en poste à Saint-Barnabé. Il s’agit de : Léopold Giguère, Léger Milot, Clément Lajoie, Théode Milot, Camille Pellerin, Origène O. Bourassa, Léopold Pellerin, Camille Boucher et Benoît Lajoie.
1941
Deuxième incendie – Le 23 avril, un deuxième incendie dégénère en conflagration et dévastera 14 demeures. Malheureusement c’est cette même partie du village qui avait subi le 1er incendie 4 ans plus tôt.
1959
L’achat d’un camion sur lequel on installe une pompe à incendie. L’ancienne pompe était montée sur des roues qu’il fallait attacher à l’arrière d’un véhicule pour la déplacer lors d’un incendie.
1965
La municipalité possède enfin une caserne de pompier et un camion à incendie ultra-moderne pour l’époque, il fut acheté au coût de 16 400 $.
1971
Construction du réseau d’aqueduc et d’un réservoir à St-Élie-de-Caxton sur un terrain acheté 3 ans plus tôt par la municipalité de Saint-Barnabé.
Troisième incendie – Ce troisième feu frappe au centre du village et brûle l’église en son entier.
1975
Saint-Barnabé est jumelé avec Saint-Barnabé en Bretagne.
1979
Première bibliothèque. Elle se situe dans la maison de Mme Blanche Lemay.
1980
Construction du pavillon des loisirs « La Corvée » et il fut agrandit dès 1984.
1982
Les armoiries créées par le Père Fortier, sont approuvées par le conseil municipal.
1984
Construction de l’édifice contenant les logements à prix modiques.
1988
Construction de l’hôtel de ville, tel que connu aujourd’hui.
1994
Début des travaux de reconstruction du réseau d’aqueduc comportant plus de 51 km de conduites. Ces travaux sont échelonnés sur plus de 20 ans.
2004
Mise à niveau du système de traitement de l’eau potable de la municipalité.
2005
Éboulement majeur sur le chemin Grande-Rivière.
2011
Construction d’un réseau d’égout à l’intérieur du périmètre urbain ainsi que d’une station d’épuration des eaux usées.
2012
Construction d’un monument commémorant l’implication de la famille Bournival, dans la fondation de la municipalité.
2013
Adoption du nouveau logo, de la nouvelle image pour la municipalité.